Calendrier de l'Avent

En plein cœur de la forêt amazonienne, se situe la cité de Evanesco. Cette cité a comme particularité d’avoir une grande statue de Quetzal à l’entrée.

C’est là qu’habite Maya, une guerrière amazone vouée à la protection du temple du Soleil. Comme aux quatre coins de l’univers, le rythme de la vie est marqué par les quatre saisons : le printemps, l’été, l’automne et l’hiver.

Cette année, l’inquiétude monte : l’automne n’en finit plus et le froid ne semble pas vouloir s’installer. De nombreux sacrifices ont été faits pour apaiser l’astre solaire, mais rien n’y fait.
Renseignements pris auprès des cités voisines, l’hiver semble avoir mystérieusement disparu et personne n’a l’air de savoir qui serait le coupable.

Sur les bords du fleuve, les huttes regroupées tout autour de l’arbre abritant le temple du Soleil bruissent de rumeurs toutes plus folles que les autres. Certains semblent croire que l’hiver ne viendra pas car le Père Fouettard aurait volé cette dernière saison.

C’est Fran, la petite amie de Maya, qui lui a raconté tout ça à la dernière garde qu’elles ont partagé ça ensemble. Les deux jeunes femmes se connaissent depuis bien longtemps. Elles ont grandi ensemble et ont suivi le même entraînement afin de pouvoir intégrer leurs prestigieuses fonctions de guerrières amazones. Ce qui n’était au début que de l’amitié s’est vite transformé en un intérêt plus profond et désormais, Maya et Fran s’apprêtent à s’unir dans le respect des règles de leur communauté.

Il faut entre autres que le duo prépare une pâte à biscuits afin de recevoir tous les habitants de Evanesco le jour de leur mariage. Il y a également cette tradition des coussins : plus ils sont nombreux dans leur hutte, plus ils sont censés apporter bonheur et abondance aux heureuses élues.
Fran et Maya avaient prévu de se marier le jour du solstice d’hiver, c’est pourquoi elles sont si inquiètes face à cette brusque disparition. Après de nombreuses heures à en discuter et à consulter les oracles, elles conviennent finalement que leur mariage aura bien lieu à la date prévue : ce sera toujours considéré comme étant un moment de réjouissance au milieu de cette si sombre période.

Toutes leurs camarades se sont mobilisées pour les aider à organiser ce jour qui devrait rester dans leurs mémoires comme le plus beau de leurs vies. Cette nouvelle étape qu’elles s’apprêtent à franchir réjouit tout le monde. Les guerrières amazones sont aimées et admirées par tout le monde dans cette si belle cité d’Evanesco.

C’est le cœur en joie et au milieu de tout un peuple en liesse que leur union sera célébrée. Quant à la suite, seules les étoiles peuvent le dire …

« C’est un monde étrange », dit Soraya en observant le grand œil au-dessus d’eux.

« Le plus étrange de tous », lui répond Lukas, son ami, en inspectant les alentours avec méfiance.

Lukas est un grand garçon de 17 ans. Il a des cheveux courts châtains et coiffés en brosse et des yeux vert mousse. Il est toujours habillé de noir, ce qui fait dire en plaisantant à Soraya qu’ils sont le Yin et le Yang. Ses ailes sont bleu foncé avec le bout doré.

Soraya est une jeune fille de 14 ans. Elle a de longs cheveux noirs et lisses, de grands yeux de biche verts et elle a toujours les oreilles ornées de grandes boucles d’oreilles en or. Ses ailes sont bleu clair.

Ils se sont connus un jour où Lukas, qui vivait dans les bas-fonds de leur cité d’origine sur une planète où l’Apocalypse s’était déchaîné quelques siècles auparavant, était affamé et avait tenté de voler du wasabi pour manger avec le pain rassis qu’il avait réussi à récupérer chez le boulanger.

Soraya, qui était la fille du gouverneur de la ville, avait tout de suite remarqué son manège et était intervenue pour le sauver de la garde, ce qui n’avait pas du tout plu à son père. Celui-ci lui avait alors imposé un choix : soit elle sauvait Lukas et n’avait plus de famille ; soit elle oubliait l’existence de ce dernier et reprenait une attitude plus conforme à son rang.
Soraya avait choisi Lukas.

Depuis, ils vivent comme deux proscrits et parcourent l‘univers à la recherche d’une planète qui voudrait bien les accueillir. La planète sur laquelle ils sont depuis quelques jours ne cesse de les fasciner par sa décadence. Les êtres qui la peuplent courent à leur perte en étalant ainsi leur félonie et leur veulerie mais aucun n’est prêt à renoncer à ne serait-ce qu’un pouvoir.
Tout ça se passe sous le regard d’un énorme œil électronique qui semble suivre le moindre mouvement que n’importe quel habitant peut faire.

L’atmosphère est irrespirable : les enfants mentent, les mendiants sont en fait très riches, et tout ce monde baffre jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus dans de somptueux festins qu’ils ne finissent jamais.

Soraya et Lukas sont révulsés par tout ce qu’ils voient. Ils ont compris qu’ils ne pourraient pas vivre ici, leur mode de vie et leurs valeurs sont aux antipodes de tous ces gens.
Ils ont donc décidé de reprendre leur errance et d’essayer à nouveau de trouver un endroit où ils se sentiront bien.

Les voilà donc main dans la main, prêts à s’élancer dans le vide. Après un dernier regard à ce monde qui pourrit dans le luxe et la malhonnêteté, les deux jeunes anges s’envolent, l’espoir chevillé au corps.

Célimène a pris sa décision, il est temps qu’elle sache la vérité, elle est la devant la porte du bureau des archives angéliques. Elle veut savoir pourquoi elle est différente. Elle frappe à la porte avec détermination et la franchit quand on l’y invite. Elle se retrouve devant une ange bien plus âgée qu’elle, tellement âgés que ses cheveux blond sont devenu blanc.

- Bonjour, je suis Célimène et je suis venue consulter mon ascendance, dit la jeune ange.

- Bonjour Célimène, je me nomme Félonie, que cherche tu exactement dans ton ascendance, demande l'ancêtre.

- Je veux savoir pourquoi je suis la seul ange de la cité céleste a avoir des cheveux sombre et des ailes obscures, questionne Célimène.

- Je ne suis pas sur que la réponse que tu cherche se trouve dans ton ascendance, mais je t’autorise quand même a la consulté, dit Félonie.

Félonie quitte son bureau et va chercher l’ascendance de Célimène dans les rayonnage des archives. Elle lui ramène un étrange sablier avec de nombreux rouages et plusieurs capsule de verre contenant du sable de différente couleurs.

- Tu sais comment ça marche ou il faut que je t’explique, demande Félonie.

- J’ai suivit les cours de lecture d’archives, je devrais pouvoir me débrouiller, répondit Célimène.

Célimène emporte son ascendance et va se trouver un coin tranquille pour la consulter. Elle s’isole dans les bas fond de la cité, endroit que la plupart des anges snobe, leurs préférant les toits de la ville.

Elle passe la chaîne de l’étrange sablier autour de son coup, puis elle actionne différent rouage retourne tourne certaines capsule de sables, ensuite elle place le tout devant son œil gauche et regarde à travers les rouages. Elle se sent aspiré par le mécanisme et a l’impression de voire tous les rouages défilé autour d’elle, alors qu’en réalité l'ascendance c’est fixé sur son œil et que de minuscules connexions robotique sont en train de la connecté avec la base de donnée contenue dans l’artefact, en s'enfonçant dans son œil.

Elle a d’abord du mal a volé entre les divers niveaux de son ascendance pour trouver ce qu’elle cherche. Une fois qu’elle a finit de s’étaler sur le sol figuratif elle peut enfin consulter les dossiers. Mais comme Félonie l’avait prévenue elle ne trouve rien d’intéressant sur la couleur inhabituelle de ses cheveux et de ses ailes, pas de raison qui pourrait la guider.

Elle ne résiste pas et tente une recherche dans les archives avec le surnom que les autres anges lui donne, elle entre donc la princesse du démon dans l’interface de recherche. Et à son plus grand étonnement elle obtient plusieurs fichier, tous on été caché dans un sous-dossier invisible nommé décadence.

Elle ouvre le premier et découvre qu’il concerne une jeune anges de 14 ans, l’interface lui fait voire une image d’elle et à la stupéfaction de Célimène, la jeune femme toute vêtue de blanc a de long cheveux noir comme la nuit.

Célimène remarque ensuite ses grand yeux vert, couleur qu’elle n’as jamais vu chez les anges, la plupart on les yeux violet, bleu ou rose, parfois orange ou jaune, mais elle n’en a jamais croisé avec les yeux vert, elle même a les yeux orange. Mais sa plus grande surprise c’est sans doute les ailes bleu clair de la jeune ange, elle pénètre plus en profondeur dans le dossier et découvre qu’elle se nomme Soraya Nefertoum.

Il semblerait qu’elle est disparut mystérieusement de la cité céleste, la seul chose qu’on est retrouvé d’elle c’est sa bouteille personnelle de Wasabi qu’elle emportait partout. Sa disparition semble remonter à plusieurs mois. Au vu de sa tenue blanche elle devait faire partie des anges du temple, c’est sans doute pour ça qu’elle ne l’avais jamais croisé.

Elle a peut être trouver une piste, elle consulte avec frénésie les autres dossiers caché et découvrent que tous concerne des anges au cheveux sombre ou roux avec des ailes de couleur inhabituelle. Il ne lui reste plus qu’un seul dossier a exploré, elle l’ouvre et constate que c’est son dossier et qu’il fait état de sa disparition dans les bas-fond et qu’on ne retrouve d’elle que son ascendance qu’elle était venue consulter dans ce lieux.

Elle panique et essaie de se déconnecté le plus rapidement de l’artefact, mais elle en est incapable, elle semble être aspiré de plus en plus profondément dans les rouage du petit objets, tout s'accélère, tellement qu’elle finit par perdre connaissance.

Au même moment son corps disparaît purement et simplement des bas-fond ne laissant que l'ascendance comme c’était écrit dans son dossier.

Cette arbre dont Elros est l'âme est vraiment impressionnant, il dégage une tel puissance, Arthur se demande bien, où il va les amener. Ils traverses de nombreux passage magique, passant de contrés glacial a des désert aride ou des jungles marécageuses.

L’arbre finit par s'arrêter au cœur d’une forêt de sapin, dans une petite clairière, un petit sapin rachitique fait peine à voire, il est entouré de beau et grand sapin tous en bonne santé, il a même un jeune sapin qui pousse à son pied et qui semble en meilleur forme que lui.
L’arbre enfonce ses racines dans le sol de la clairière et semble se rendormir.

- Eh bien nous voilà dans un étrange lieux, tu sais se que sa signifie, demande Arthur.

- Je ne suis pas sur, mais cet endroit, il sens, les épices, le chocolat et les biscuit au beurre, ça ressemble un peu à l’odeur de ta magie, mais quand même un peu différent. Chaque sapin semble avoir un léger parfum différent, tu vois ce grand sapin blanc la bas, il a une légère odeur de vanille en plus des trois autres odeurs. la petite pousse a une odeur d’amande grillé et oh le sapin malade son odeur j’ai l’impression de l’avoir déjà sentit. Oh je crois savoir ou on est, dit Elros.

- Il sent quoi ce sapin tout mal fichu. Alors va y, crache le morceau, on est ou la, demande Arthur.

- Je crois que tout ses sapins personnalisent la magie des pères-noël qui se sont succéder. Le grand blanc, c’est le père noël actuelle. Et j’ai bien peur que le sapin tout malade soit le tien, dit Elros.

- Alors tu veut dire que la petite pousse ça serait le sapin de ma fille Lucie, s’exclama Arthur.

- Oui ! J’en suis sur, dit Elros.

- Mais pourquoi nous avoir amené ici, se demande Arthur.

- Je pense que l’arbre a voulu te montrer que tout espoir n’est pas perdu, ta fille a sa place ici, ça veut dire qu’elle a hériter de la magie de noël, et que si tu retourne au royaume de noël et que tu reprend ta place d’héritier, ton sapin guérira et toi aussi, répondit Elros.

Arthur fait le tour de la clairière caresse les différent arbres, quand il pose sa main sur le grand sapin blanc, il sent qu’en effet il est différent des autres, il y a de la magie de noël en lui. Il s’approche de son propre sapin et le trouve en bien piteux états. Il ne s’était pas rendu compte à quel point il s'était blessé lui même en ne retournant pas chez lui.

- Tu as raison, il faut que je retourne au royaume de noël et que j’aille aider mon père dans sa tâche pour un jour lui succéder, je doit arrêter de fuir et dire la vérité à Amandine et Lucie, dit Arthur.

- Bien, nous n’avons plus qu'à nous mettre en route alors, mais nous ne pouvons pas voyager grâce à la magie de l’arbre, il va se faire tout petit et redevenir une graine pour ménager ses forces le temps du voyage. Nous devrions essayer une de tes flûtes, je suis sur que l’une d’entre elle nous amènera dans un endroit d'où nous trouverons un passage directe vers le royaume de noël, dit Elros.

C’est ainsi qu’Arthur se met a soufflé dans une des flûtes, après que l’arbre d’Elros soit redevenu simple graine et que la petite créature se soit installé sur son épaule.

La première les transportent dans une étrange boutique, ils sont accueillis par trois étranges animaux installé sur un pouf de cuir. Il y a un lapin avec un nœud papillons et un chapeau melon et des lunette d'aviateur steampunk sur le rebord du chapeau. Un chien à lunette avec un haut de forme en cuir, il est en train de fumer une pipe, vraiment étrange ce chien. A côté se trouve un chaton roux avec un monocle et qui semble porté un corset et arbore un petit chapeau noir à plumes.

Mais le plus étrange c’est sans doute la femme derrière eux, elle semble être à moitié animal, en effet elle possède des oreilles de chat qui semble bien réelle. Arthur essaye de communiquer avec la femme, mais cette dernière ne lui répond que par des miaulement.

Il sort donc une autres flûtes et souffle dedans, ils atterrissent dans un lieux clos, ou il fait complètement noir, Arthur essaye bien de sentir quelque chose avec ses bras, mais il ne sent aucun mur, ni rien et il ne voudrais pas tombé dans une crevasse, alors il préfère soufflé dans une troisième flûtes.

Pendant ce temps au royaume de noël, dans le bureau du yéti jaune, Suzelle tente d'obtenir la récompense qui lui a été promise, mais le yéti affirme que l’amitié en question surgira quand elle s’y attendra le moins. En attendant il a une autre mission pour elle, oh il aurait bien voulut l’envoyer chercher le père fouettard et l'arrêter pour avoir volé l’hiver, mais seul l’héritier avait suffisamment de puissance pour cela. Non a la place il voulait qu’elle passe une commande de neige, il allait falloir créer de toute pièce un nouvel hiver, alors il faudrait beaucoup de neige.

- Non mais dans quoi je me suis encore fourré. Passer une commande de neige, il en a de bonne le yéti jaune et je fait sa ou moi ? Et on commande ça comment ? On demande une certaine épaisseur ou une quantité en mètre cube ? Franchement y a des jours je me demande si je ferais pas mieux de rester dans mon lit a lire un livre avec un titre débile comme je les aimes, comme “ Le tiroir des Lumières” que j’ai laisser sur ma table de nuit, marmonne Suzelle.

Elle décide d'explorer les couloirs elle va bien croiser un lutin de noël ou un yéti qui saura la renseigné sur comment on commande de la neige, ou au pire ils doivent bien avoir une bibliothèque dans ce trou. Elle pourrait toujours se trouver de la lecture, peut être qu’ils ont un exemplaire de “la loi du soir” Ou du recueil “ Espérance de l’ours” voire au pire une réédition de l'anthologie “ Archive du pardon”.

C’est un magasin situé sur l’Etoile Polaire. Son enseigne, « Le Tiroir des Lumières », se balance doucement dans la brise du soir.

Si on s’intéresse à l’intérieur et qu’on pousse la porte, on est accueillis par un drôle de quatuor : une jeune femme aux oreilles de chat, un lapin au chapeau melon, un chien au chapeau haut-de-forme et en train de fumer la pipe, et un chat roux avec un monocle.

Tendez l’oreille, vous allez entendre M. Lapin râler depuis l’arrière-boutique : « Passer une commande de neige, il en a de bonnes le chef. Et je fais ça où moi ? Et on commande ça comment ? On demande une certaine épaisseur ou une quantité en mètres cubes ? »

M. le Chien, qui fume sa pipe placidement, tente de l’apaiser : « Allons Jeannot, tu sais bien que ça ne sert à rien de te mettre dans des états pareils. »

M. le Chat, quant à lui, remet de drôles d’objets sur les étagères indiquées comme « Espérance de l’Ours ». Il semblerait que cela se rapproche des constellations mais nous n’en saurons pas plus car la jeune femme, qui se nomme Neko comme l’indique son badge, s’approche de vous afin de vous demander ce que vous souhaitez.

« Je souhaite consulter l’Archive du Pardon », indiquez-vous. Neko vous guide alors vers l’autre bout du magasin, dans un coin reculé et après avoir ouvert le tiroir du meuble à archives, vous tend le fameux dossier et vous laisse le lire dans la quiétude qui règne dans la pièce.

Et puis soudain, un courant d’air qui fait claquer une porte dans le lointain vous fait sursauter. Intriguée, vous regardez autour de vous et voyez venir sur votre droite M. le Chat qui tient une lanterne.

Vous réalisez alors qu’absorbée par votre lecture, vous n’avez pas fait attention au temps passé dans la boutique. Il est fort tard et c’est pour ça que M. le Chat vient vous avertir en vous expliquant : « C’est la Loi du Soir. Nous devons fermer sinon nous allons avoir une amende. »

Compréhensive, vous fermez le dossier et le rangez dans le tiroir avant de vous diriger vers la porte, accompagnée par M. le Chat, toujours avec sa lanterne.

« Bonne soirée Madame ». Vous le remerciez d’un sourire avant de prendre le chemin qui vous ramène chez vous.

En Camargue, à quelques mètres d’une rivière et d’une forêt de sapins, il y a un petit village connu pour son sabotier. Sa renommée est telle qu’elle dépasse les frontières de la France.

La journée, le village et ses alentours sont calmes. La nuit, ils bruissent d’activité. Le décor est si beau au coucher du soleil qu’on croirait voir une carte postale avec cette barque posée sur l’eau et ces couleurs rose orangé en toile de fond. On peut cependant y croiser un sanglier en lisière de la forêt et qui semble être à la recherche d’un peu de nourriture ; il y a aussi les hululements des rapaces nocturnes tels que les chouettes et les hiboux ; ou bien encore les petits cris stridents poussés par les chauves-souris lorsqu’elles s’envolent en bande.

Tout ce petit monde compose un univers qui semble vivre en parfaite harmonie. Oh, bien sûr, il arrive malheureusement qu’il y ait quelques accidents comme cet homme qui s’est noyé dans la rivière il y a quelques années. Mais il faut reconnaître qu’il avait manqué de vigilance : tout le monde ici sait bien que les rives sont dangereuses après ces gros orages caractéristiques du sud de la France.

D’ailleurs, depuis plusieurs années, il y a toujours un peu d’inquiétude quand le tonnerre commence à gronder dans le lointain. Les gens du coin ont beau être habitués à la violence des éléments, ça impressionne un peu tout de même. Et ne parlons même pas des touristes qui sont surpris par ce soudain déchaînement météorologique : ceux-là ressortent traumatisés par cette expérience.

Parfois, il se produit des évènements que personne n’arrive à expliquer. Même les vieux qui semblent faire partie des murs tellement ils sont là depuis longtemps n’ont jamais vu ça.
Par exemple, lors du dernier gros orage qu’il y a eu dans le coin, le sabotier a vu dans le ciel ce qui ressemblait à un anneau de feu avant que ce dernier ne s’engouffre soudain dans son atelier par le conduit de la cheminée. Il a bien cru qu’il allait finir grillé comme les cochons à la broche du temps du Moyen-Âge, raconte-t-il à ses clients impressionnés.

Ou bien encore, certains jours, lorsque le soleil couchant plonge dans la rivière, on croirait voir une baleine de lumière qui illumine une forêt de sapins décorés.

Grâce à ces histoires, le village et son sabotier voient souvent débarquer des peintres, des photographes, des journalistes, des photo-reporters, etc … Ce qui fait les affaires de tous les commerçants et de toutes les personnes proposant un logement à la location dans les environs.

Dans l’étable des dragons de Troncbulbe, Lysander, Calixte et Eowyn tente de trouver le dragon dont Luinil est l'âme. Ils font le tours des box sans grand succès, quand soudain la petite créature leurs demande de se faufiler dans ce qui semble être un box inutilisés ou tout du moins condamné. Lysander, confie Luinil a Calixte et se faufile seul voire se qu’il y a dans le box. Il y découvre un dragon en bien piteux état, a première vu on pourrait croire qu’il a la variole des dragons, mais en grand expert de cette maladie Lysander sait tout de suite que ce n’est pas de ça qu’il souffre. C’est donc à cause de lui qu’il a été appelé ici, mais pourquoi personne n’était là pour l’accueillir, c’est bien étrange.

- Il y a bien un dragon, mais il est malade, je pense que c’est a cause de lui qu’on m’as demandé de venir, il a plusieurs symptôme qui font penser à la variole des dragons, mais je sais que ce n’est pas la variole, dit Lysander.

- Je peux quand même venir le voire, ou c’est dangereux pour moi, demande Luinil.

- Je pense que tu peux venir sans soucis, vous les âmes-dragon, vous n'êtes pas sensibles aux maladies des dragons, en tout cas il semble avoir le bon age pour être ton dragon, répondit Lysander.

Calixte pause Luinil qui se faufil dans le box, elle aperçoit rapidement le dragon et son coeur fait un bon dans sa petite poitrine, elle a trouver son dragon, mais elle est triste de le trouver si mal en point. Elle s’approche du dragon qui est roulé en boule dans un coin du box, il semble trembler de fièvre. A l’approche de la petite créature, le dragon, ouvre les yeux et releva la tête, une étincelle illumine alors le regard du dragon.

- Bonjour dragon, je m’appelle Luinil et je crois, enfin non je suis sur que je suis ton âme-dragon, dit Luinil.

- Tu devrais poser ta main sur sa tête, je ne suis pas sur qu’il arrive a parlé dans son états, lui conseilla Lysander.

Luinil grimpas alors sur le dragon et s’installa sur sa tête et y posa sa main, elle arriva alors à lire directement dans l’esprit du dragon. Elle sentit qu’il était heureux de rencontrer la moitié de lui qui lui manquait si cruellement, elle sentit également qu’en faite c’était une femelle, mais aussi à quel point elle est faible. Elle découvrit également son nom.

- Elle s’appelle Fluorine, je suis inquiète, elle est très malade, dit Luinil.

- Je vais la remettre sur pied, soignons déjà cette fièvre pour commencer, dit Lysander.

Il farfouille dans son sac et en sortit une bouteille en verre contenant un liquide rosâtre. il fit boire la potion à la dragonne qui semble apprécié qu’on s’occupe d’elle.

- Bien ensuite occupons nous de cette éruption, c’est sans aucun doute ce qui a fait croire à ses soigneur à la variole, mais il sont beaucoup trop gros pour que sa soit la variole, je pense que c’est plutôt une réaction allergique, ça ressemble beaucoup à une irritation provoqué par les fleurs de sabotier rouge. Se sont des fleurs auquel les dragons d’eau sont très sensible, Fluorine a dû se rouler dans un champ en fleur et il devait y en avoir un bouquet, normalement nous somme en plein dans leurs période de floraison, mais avec cette couche de neige qui recouvre tout, je ne sais plus où j’en suis, dit Lysander.

Il sort un pot de pommade et commence à l'appliquer sur les boutons de la dragonne. Il constate rapidement une amélioration de l’état de sa patiente.

- Avec tout ça elle iras rapidement mieux, on va pouvoir la faire sortir de ce box, un peu de lumière ne lui ferait pas de mal, dit Lysander.

Il ressortit du box et avec l’aide de Calixte et Eowyn il dégagent les planches qui empêchait la dragonne de sortir. Puis il la guide jusqu'à la sortie, ils la voient déployer ses ailes avec plaisir, on sent que ça fait un petit moment qu’elle devait être enfermé.

- Bien nous avons trouvez un dragon et son âme, mais est qu’ils vont pouvoir nous ouvrir le passage qui nous amènerait jusqu'à Manas, demande Calixte.

- Fluorine dit que d’ici la nuit elle aura récupéré assez de force pour ouvrir le passage entre les univers, répondit Luinil.

- Bien nous n’avons plus qu'à nous installé, faire grillé un sanglier pour manger un morceau avant de reprendre le voyage, propose Eowyn.

- Et tu l’attrape comment le sanglier, demande Calixte.

- Oh je suis sur que Lysander va m’aider et qu'à nous deux ça ne nous prendra pas plus de 30 minutes, dit Eowyn.

- Je pense en effet que nous devrions nous en sortir, installez vous confortablement en attendant, répondit Lysander.

Les deux plus anciens laissèrent donc Calixte en compagnie de Luinil et de la dragonne. Ils se dirigent vers la forêt et dans le cours de la discussion s'avouent l’un l’autre qu’ils étaient des loups garou. Le courant passait bien entre eux, pour la première fois Eowyn se sent à sa place au côté de quelqu’un. Lysander lui avoue qu’elle lui rappelle un peu sa femme décédée il y a bien longtemps, en tout cas elle semble capable de lui tenir tête. Ils ramène rapidement un sanglier à l’étable, il faut bien qu’il y est des avantages à être lycanthrope.

Pendant ce temps Calixte a eu le temps de préparer un feu que Fluorine a gentiment allumé, faut bien que ça serve d’avoir un dragon sous la main. Ils vont se faire un vrais festin.

Framboise a fini de barboté dans la lagune et vient au nouvelles vers Calixte. Elle constate qu’elle a trouvé un dragon et son âme, la prochaine partie du voyage devrait se faire plus facilement grâce à eux. Opalescent c’est aussi approché pour quémander un morceau de sanglier, puis il prend plaisir à faire des voltiges avec la baleine céleste.

- Je me sens suffisamment remise pour vous ouvrir un passage, il faut juste que Framboise me disent votre destination, dit Fluorine.

- Quand a moi, je crois que je vais rester ici avec Lysander, s’exclame Eowyn.

- Oh ! Tu est sur, j’ai eu beaucoup de plaisir à te rencontrer, mais si tu pense que ta place est ici, alors j’espère que tu sera heureuse, répondit Calixte.

- Notre destination sera l'univers de l’anneau des écumes, dit Framboise.

Calixte et Framboise font leurs adieux à toutes ses personnes qui les ont aider, elles savent qu’elles seront les seuls à franchir le passage. Fluorine n’est pas encore suffisamment remise pour changer de monde. Après avoir appris l’histoire des âmes-dragons, Calixte espère que bientôt d’autres âmes-dragons défieront leur chef et viendront rejoindre la moitié qui leur manque.

Luinil et Fluorine unissent leurs magie et la dragonne s’envole pour décrire un grand cercle et ouvrir le passage. Avant de partir Calixte admirer une dernière fois le paysage de la lagune et le soleil qui se couche au loin tout en se reflétant sur l’eau de la lagune sur lequel une barque tangue doucement.

Enfin elles franchissent le passage et elles vont retrouver Manas.

Pendant ce temps Arthur vient de souffler dans la troisième flûte, il arrive dans une forêt de sapin, ils sont tout recouvert de guirlandes lumineuses et de boules scintillantes. Au moment même où lui et Elros arrivent dans ce lieux un déchirement se produit dans le ciel et une baleine de lumière illumine la forêt de sapin décoré.

Arthur sent au fond de son cœur que cette baleine transporte quelque chose pour lui. Quelque chose qui va l’aider à reprendre sa place et à guérir son sapin dans la forêt des pères-noël.

Galina est inquiète elle ne retrouve plus Célimène, elle a appris qu’elle a été chercher son ascendance pour la consulter, comme elle se doute qu’elle a du faire sa dans les bas-fond elle va voire si elle la trouve. Elle se rend donc dans leurs endroit préféré et la elle trouve l'ascendance de Célimène abandonné sur le sol, mais aucune trace de son amie.

La jeune ange avertit les autorité angéliques et au vu de la réponse de l’agent qui prend sa déposition comme quoi la disparition n’est pas une grande perte, elle comprend rapidement qu’elle va devoir mener elle même l'enquête si elle veut que son amie réapparaisse.

Quelqu’un lui dit d'aller voire Blaise, l’ange loup-garou, il vit dans les quartier les plus sinistre de la cité céleste. Elle le trouve plus facilement qu’elle le pensait, elle découvre un ange blond aux yeux bleu-vert, le visage marqué de cicatrices. Elle ne peut pas dire qu’il l’accueil avec plaisir, mais il accepte néanmoins de répondre à ses questions.

- Je cherche des informations sur Célimène, c’est mon amis et elle a disparu alors qu’elle était en train de consulter son ascendance, demande Galina.

- Ton amie, elle n'aurait pas les cheveux sombre et des ailes obscures, demande Blaise.

- Si en effet, répond Galina.

- Alors c’est lié à la décadence, c’est une section du concile qui a décidé de purifier la race des anges, ils font disparaître ceux qui sont différent. Mais tu as dit qu’elle consultait son ascendance, alors il y a peut être une chance qu’elle soit entre les mains des ramoneurs, ils font s’évader tous les anges menacé par la décadence. Va voire Crispation, l’ange qui tient la crèche de l’entre-deux, répondit Blaise.
Merci beaucoup, ajouta Galina.

La jeune ange quitta les bas-fonds pour rejoindre l’entre-deux, elle trouve rapidement la crèche et Crispation, elle se demande bien comment aborder le sujet discrètement. Et puis elle se décide à aborder directement le sujet, elle verrais bien la réaction de Crispation.

- Bonjours, je m’appelle Galina, on m’as dit de me renseigné au près de toi a propos des ramoneur et de la décadence. Je recherche mon amie Célimène, elle a disparut, dit Galina.

- Bonjour Galina, moi c’est Crispation, je ne sais pas qui t’as parlé de moi, mais il semble bien informé. Ton amie Célimène elle a les cheveux sombre et des ailes obscure, n’est ce pas, demanda Crispation.

- Oui, en effet je n’ai trouvé d’elle que son ascendance qu’elle était en train de consulté, répondit Galina.

- Tu dit qu’elle consultait son ascendance, alors c’est fort probable que les ramoneurs l’ai fait évader, je peut tenter de trouver des nouvelle d’elle, mais j’ai bien peur que tu ne la revoie jamais, a moins que tu ne rejoigne notre cause, dit Crispation.

- Rejoindre votre cause, hum … pourquoi pas, dit Galina.

- Bien, j’informerais Queue de renard que tu souhaite nous rejoindre, retrouvons nous dans trois heure au bistro la télécommande, dit Crispation.

Galina est à l’heure au rendez vous, elle patiente en contemplant un tableau représentant deux voyageur, une femme et son enfant sans doute, ils sont à l’orée d’une forêt, l'on aperçoit au loin une chaîne de montagne et une cité construit telle une tour de babelle, dans le ciel 2 lunes sont visible alors que le soleil se couche à l’horizon. La jeune ange espère que son amie est dans un endroit aussi beau que celui du tableau.

Arthur regarda la baleine céleste s'approcher de lui, il allait bientôt savoir ce qu’elle transportait pour lui. Il s'aperçut qu’une jeune femme se trouve sur son dos.

Calixte et Framboise étaient arrivés dans un monde impressionnant une forêt de sapin de noël tout décoré dans une couleur différente, c’est vraiment féerique.

Framboise a repéré Arthur et se dirige droit sur lui, une fois posé Calixte descend et se plante face à l’héritier du père noël.

- Bonjour, je suis Calixte, j’ai entendu votre appelle à l’aide, dans mon rêve, je vous ai amené la lueur du lampadaire de Venise. Vous êtes bien Manas n’est ce pas, demande Calixte.

- Bonjour Calixte, tu dit que je t’ai appelé à l’aide dans un rêve, j’ai bien peur de te décevoir, je ne m’appelle pas Manas, mais Arthur, dit Arthur.

- Pourtant vous êtes bien celui a qui est destiné ce que la petite transporte, dit Framboise.

- La baleine céleste a raison, c’est ta magie qui a du envoyer un message à l’aide. Manas veut dire Esprit et d’une certaine manière tu est l’esprit de noël, elle a donc trouver la bonne personne, dit Elros.

- Quand vous avez franchie le passage j’ai sue que vous transportiez quelque chose pour moi, alors vous avez sans doute raison, dit Arthur.

- J’avais bien raison, vous êtes Manas, vous n'êtes vraiment pas facile à atteindre, maintenant comment je fait pour vous donner la lueur du lampadaire de Venise, demande Calixte.

- Je la sens elle a remplis ton cœur, sa puissance me fait frissonner, il faut que je te la troc contre quelque chose, hum je n’ai pas grand chose sur moi a part des flûtes enchanté. Oh ! J’ai aussi ce petit sachet de lavande, dit Arthur.

- Je crois que je vais choisir le sachet de lavande, répondit Calixte.

Arthur pose le sachet dans la main de la jeune fille alors que cette dernière pose sa main sur le torse d’Arthur. La lueurs magique quitte alors le cœur de Calixte pour se réfugié dans celui d’Arthur. Il a l’impression qu’un spectre l'envahit. Du gel s'étend sur ses mains et ses pieds, Arthur sent que le gel gagne aussi sa langue, Après tout ce temps, L’hiver prend possession de lui. Il est en train de retrouver sa magie perdu, la magie de l’héritier du père noël.

De joie, il trace des symboles dans le ciel avec son doigt et comme si il était en train de peindre un tableau, une couche de neige se met à recouvrir la forêt de sapins décoré.

- Merci Calixte, tu m’as rendu ma magie que j’avais abandonné, je vais pouvoir aller retrouver mon père et l’aider. Ah tu besoin de quelque chose, ou un souhait particulier avant que nous ne nous séparions, demande Arthur.

- Si j’ai bien compris, vous êtes l’esprit de noël, alors j’aimerais bien un jours visiter votre royaume, répondit Calixte.

- Oui bien sur, mais tu ne m’en voudra pas de ne pas t’emmener maintenant, mais a cause de moi, le royaume de noël a quelque difficulté et je dois d’abord les résoudre pour que tu puisses le visiter quand il sera au mieux, dit Arthur.

Arthur ramasse un bout de bois et d’un claquement de doigts le transforme en petite statue de hérisson. Il la temps à Calixte et lui dit que quand la statue fleurirait c’est le signe qu’il viendrait la chercher pour qu’elle visite le royaume de noël.

- Bien Elros je crois qu’il est temps que nous rentrions, je vais avoir besoin de toi et de la graine de ton arbre, si tu veux bien, demande Arthur.

- Bien sûr, nous allons accomplir de grande chose, notre aventure n’est pas fini, répondit Elros.

Arthur pose le petit être sur une souche devant lui, Elros sort la petite graine de sa poche et la dépose entre eux. Arthur effleure la graine de ses doigts tout en murmurant des paroles magiques. La graine se fendille et des rameaux sortent, ils ne prennent pas la forme d’un arbre cette fois. Arthur est en train de sculpter une créature de bois qui les transportera à destination.

Elle est immense avec des grande pattes massive, une tête à cornes et des excroissances sur le dos auquel Arthur pourras s'agripper. Puis il fait tombé quelques flocons sur Elros ses derniers scintillent dans les cheveux du petit être, Puis ce dernier se met à changer, il grandit, des vêtement se mettent à recouvrir son corps, ses cheveux sont devenu blanc.

Arthur a permis à l'âme venue de la nuit des temps de reprendre la forme qui était la sienne lors qu’elle c’est lié pour la première fois à l’arbre. Elros tend les mains vers la créature de bois qui penche la tête vers lui, une puissante aura se déploie entre eux, grandissant, puis les englobant, ils sont unis comme autrefois près a mettre la pleine puissance dont ils disposent au service de l’héritier du père noël.

Les lutins d’élites avaient réussit a attrapé le père-noël et a le désenvoûté du sort lancé par l’ondine. Une fois les lutins partis la mère noël se met a sermonné son époux, il sait pourtant que les ondines sont dangereuse alors qu’il n’as pas toute sa puissance.

- Tu aurais du faire plus attentions, surtout que ce n’est pas notre seul problème cette année. J’ai bien peur d’avoir égaré la recette du pain d’épice magique, dit la mère noël.

-Quoi ! Comment ça ! La recette du pain d’épice magique a été perdu. Je ne peux pas livrer les cadeaux de noël sans ma dose de pain d’épice magique. Impossible de rentrer dans les cheminées sans lui, surtout qu’elles sont de plus en plus petites leurs foutu cheminées. Il faut que j’envoie des lutins la retrouver, dit le père noël.

- Tu devrais plutôt demander au yéti jaune, il parait qu’il a un nouvelle agent qui est très efficace, dit la mère noël.

- D’accord, j’en profiterai pour aller voire si les nouveau mangeur de biscuits et les buveur de lait sont prêt pour la tournée, si j’ai bien compris ce que m’as dit le responsable, il a décidé d'embaucher des chiens et des chats cette année, il a dit que ça serait plus discret chez les humains. J’espère qu’ils ne feront pas une mauvaise réaction comme le loup de l’année passé, dit le père noël.

Le père noël se dirige donc vers la salle d'entraînement des mangeurs de biscuits et des buveurs de lait. En pénétrant dans le local il voit qu’un faux salon humain a été installé le tout avec les décoration de noël traditionnelle. Sur une petite table à côté d’un sapin, une assiette de biscuits et un verre de lait. Un chat avec un bonnet rouge à pompon blanc est en train de tenter de boire le lait alors qu'à côté de lui un chien qui porte le même bonnet mais plus grand s’attaque à l’assiette de biscuit. Cela semble être un bon début, le responsable a au moins réussi a se qu’ils ne se courent pas après et que le chat ne joue pas avec les décoration du sapin. Au moins la salle d'entraînement ne ressemblait pas à un zoo comme l’année passée, et plus besoin de palefrenier pour s'occuper de la dizaine de chevaux qui se trouvait là a l’époque.

Il avait bien fait d’obliger le responsable a repartir d’une feuille vierge. Cette année l’union d’un chat et d’un chien semblait en effet être un bon compromis. Il espérait de tout cœur que sa marcherais, il n'arrivait plus à digérer le lait en brique et les biscuits industrielles. Oh ! Quand il voyait que c’était des biscuit maison il prenait plaisir à les manger et a de rare occasion dans quelque ferme isolé, le lait était frais et n'avait pas été traité qu’elle plaisir c’était alors pour lui de le savourer.
Le père noël repris sa route pour atteindre cette fois le bureau du yéti jaune et lui confier la disparition de la recette du pain d’épice en lui disant de mettre ses meilleurs élément sur le coup.