Calendrier de l'Avent

Dans un univers alternatif, Blaise serait toujours un jeune homme aux yeux bleu-vert et aux cheveux longs ondulés et blonds foncés ramassés en une sorte de queue de renard. Il vivrait une vie normale avec sa compagne ou son compagnon et l’éventuelle famille qu’ils auraient décidé de créer.

Mais nous ne sommes pas dans un roman de gare où les aventures du héros se terminent bien. La vie de Blaise, actuellement, n’a malheureusement rien à voir avec ce genre d’histoire. Certes, il a toujours le même physique mais celui-ci est agrémenté de plusieurs cicatrices qui marquent son visage, résultat d’une pleine lune mouvementée il y a quelques années.

Car Blaise n’est plus un être humain depuis que Okamiel l’a transformé. Ce n’est pas un animal non plus, c’est un hybride. Pire, c’est un lycan. Blaise est donc condamné à vivre en marge de la société puisque lui et ses semblables sont considérés comme des monstres par les autres, ce qui provoque quelques crispations dans le groupe.

Blaise a toujours eu du mal avec le fait qu'il n'ait pas eu le choix de devenir un lycan. Okamiel lui a assuré plus d'une fois que c'était ça ou la mort, qu'il ne l'avait pas fait sans son consentement pour lui infliger du mal mais bien pour le sauver. Mais pour Blaise cela reste un choix, un de plus, qui lui a été refusé.

La situation des lycans a cependant quelque peu évolué. En-dehors des périodes de pleines lunes, ils sont autorisés à avoir un emploi. Mais qui voudrait embaucher un lycan ? Pas grand monde … Blaise a eu la « chance » d’être engagé en tant que ramoneur, mais côté moldu, puisque le monde sorcier refuse de lui faire confiance. Alors, tous les jours, inlassablement, il gratte la suie dans les conduits des cheminées de Londres. Bien sûr, ce n’est pas le travail dont il rêvait quand il était encore étudiant, mais c’est déjà mieux que rien. Et puis, il faut bien que quelqu’un le fasse, n’est-ce pas ? Personne n’a encore inventé la télécommande pour nettoyer les cheminées.

C’est bientôt Noël et il fait un froid de gueux ce matin. Blaise est en congés mais il a décidé d’aider ceux qui sont en marge de la société, comme lui. C’est pour ça qu’il se retrouve actuellement en train d’installer une crèche dans le salon d’un manoir reconverti en orphelinat par les frères O’Neill, deux célèbres joueurs de Quidditch qui ont pris leur retraite cette année. C’est en sachant que cela ferait plaisir aux enfants que Blaise a créé cette crèche d’un genre nouveau.

Sur un fond de coucher de soleil ressemblant à une estampe japonaise, il a installé une salle commune faisant penser à celle de Gryffondor à Poudlard. Il a réuni tous les fauteuils en rond et y a installé plein de petits personnages animés magiquement (par ses « patrons », mais les enfants n’y verront que du feu, c’est le principal). Les petits personnages ressemblent d’ailleurs étrangement aux orphelins qui ne vont d’ailleurs plus tarder. Et au milieu de ce cercle, il y a une grande table avec plein de victuailles typiques de Noël et la traditionnelle théière.
Un grondement retentit soudain et Blaise a à peine le temps de se redresser et de s’écarter de son œuvre avant que les enfants ne surgissent soudain dans la pièce. Tous s’approchent de la crèche et leurs yeux s’illuminent en voyant leurs avatars animés.

Sean O’Neill, un des propriétaires de l’orphelinat, s’approche de Blaise et lui dit tout bas, reconnaissant : « Merci pour ce beau cadeau. »

Le spectre de l’automne se tenait devant moi, agité de frissons. Il ressemblait à un monstre fait de plusieurs vieux troncs d’arbres raccordés Merlin seul sait comment entre eux.
J’avais les mains tendues devant moi, redoutant ce moment. La lavande se fanait, la végétation flétrissait, le soleil pâlissait.

Le hérisson près de moi se roula en boule et s’endormit, attendant des jours meilleurs.

Si quelqu’un avait dû peindre ce moment, il n’aurait pas été déçu. Une lumière verdâtre nous entourait le spectre et moi, pendant que de la brume s’élever doucement du sol.

Le spectre eut un dernier frisson qui le parcourut de part en part avant de troquer son aspect de bois tout tordu pour une carapace de glace, décorée à certains endroits par des stalactites et des stalagmites.

Du gel s'étendait sur mes mains et mes pieds ainsi que sur ma langue. Après tout ce temps, l'Hiver prenait finalement possession de moi.

Suzelle vient de recevoir une nouvelle mission du yéti jaune, trouver une recette perdu, elle décide de commencer par inspecter la cuisine de la mère noël. Qui sait, la recette a peut être juste glisser derrière un meuble ou sous le four. malheureusement cela ne donne rien, elle demande donc à la mère noël qui est la dernière personne qui l’as aider à faire des pains d’épices magique.

Il s’avère que c’est une jeune fille nommé Ariane Cyrene, elle a depuis été affecté à l’emballage des berceaux. Suzelle se dirige donc vers l’atelier de fabrication du matériel nécessaire pour les poupées. Elle demande a un lutin de lui indiquer où se trouve la jeune fille. Le lutin lui désigne une fille à la peau clair constellé de tache de rousseur, de taille moyenne, mais ce qui la frappe tout de suite c’est ses grand yeux vert émeraude. Son accoutrement est un peu étrange pour le royaume du père noël, en effet elle porte une robe courte sans manche de couleur blanche, mais le plus étonnant c’est ses grosses chaussettes de laine dépareillé et ses sandales légère.

Suzelle se pointe donc devant la jeune fille et lui demande si elle est bien Ariane Cyrene et si elle a bien aidé la mère noël a faire des pain d’épice magique.

Ariane est tout étonné de voire Suzelle qui semble a voire plus ou moins le même âge qu’elle, mais elle est tout son contraire, autant la peau d’Ariane est blanche que celle de Suzelle est couleur chocolat, Les cheveux de Suzelle sont noir et frisé alors que ceux d’Ariane sont roux et raide. Mais chose étrange elles ont exactement la même couleur d’yeux, Suzelle c’est toujours demander comment elle avait pu se retrouver avec les yeux vert de sa mère alors qu’elle avait pris tout le reste de son père. Ariane se met a rougir quand elle réalise qu’elle est en train de dévisager Suzelle.

- Je… euh… Excuse moi, j’était en train de te dévisager, c’est que je ne vois pas beaucoup de fille de mon âge ici. Mais oui c’est bien moi Ariane Cyrene et j’ai en effet confectionné des pains d’épice magique avec la mère noël, dit Ariane.

- Parfait, ce n’est pas grave si tu m’as dévisagé, j’ai été aussi surprise de voire que tes yeux avait la même couleurs que les miens. Je suis aussi contente de trouver quelqu’un de mon âge, j’avais l’impression que cet endroit n’était peuplé que de yétis et de lutins en plus de la mère noël et du père noël. Revenons à cette histoire de pain d’épice, vois tu il se trouve que la recette des pains d’épice magique a malencontreusement disparu, tu sais peut être ou elle est, ou tu as peut être un indice, demande Suzelle.

- Je.. euh… Et bien vois tu c’est un peu délicat, mais je suis un peu maladroite et j’ai un peu renverser le pot de miel au moment de ranger la recette et elle c’est retrouver complètement poisseuse alors je l’ai emmené pour la recopié au propre, mais je ne suis pas aussi doué en calligraphie que la mère noël, alors on vois bien que ce n’est pas la recette original et du coup je suis toujours en train d’essayer de faire une meilleur copie, répond Ariane.

- Ah! Ah! Je suis vraiment une bonne enquêtrice, j’ai déjà trouver la solution, je pense que tu devrais venir avec moi, nous allons passer par tes quartiers pour rechercher la recette et ta copie et nous allons ramené le tout à la mère noël et tu pourras tout lui avoué et tout sera arrangé, dit Suzelle.

- Mais… c’est que j’ai trop peur, je ne voudrais pas être obligé de faire partie de la prochaine vague de migration, c’est que même si il n’y a pas beaucoup de personnes de mon âge, je me plais bien ici, dit Ariane.

- Je suis sur que la mère noël comprendra et que tu ne devras pas partir, dit Suzelle.

C’est ainsi que les deux jeunes fille se retrouve a arpenté les couloir du domaine du père noël ensemble.

Calixte et framboise on quitté Arthur et Elros, la baleine céleste est en train de ramener Calixte à Venise dans son monde, mais avant cela elle font un détour par un étrange monde ou d’étrange machine volante parcourt le ciel alors qu’une planète gigantesque se couche derrière de hautes montagnes. Calixte est surprise par l’écart de technologie entre ses engins volant et les habitations qu’elle aperçoit au sol. Mais elles repartent avant de prendre le moindre risque avec ses vaisseau, ils pourraient être hostile.

Juste avant de déposé la jeune fille sur la place Saint-Marc, Framboise, demande à la jeune fille de sortir la dague qu’elle a dans son sac et de faire une petite entaille sur son dos et qu’elle s’en fasse une dans la paume de la main, puis qu’elle mêle leurs deux sang. Maintenant grâce à ce pacte de sang, Framboise pourras sentir si Calixte a besoin d’elle et elle pourront de temps en temps prendre le temps de faire un petit voyage entre les mondes.

Nos amis les lutins sont en émoi. En effet, le Père Noël qui ne dédaigne pas les petites douceurs que sa compagne confectionne, est fortement frustré cette année.

Il faut vous dire que Madame Noël a malencontreusement égaré la recette du pain d’épice magique. Le Père Noël, dont c’est la friandise préférée, est malheureux comme tout et menace son entourage à tout va : « Comment ça la recette du pain d’épice magique a été perdue ?! Mais je ne vais pas pouvoir livrer les cadeaux de Noël si je n’ai pas ma dose de pain d’épice magique. Il faut que j’envoie des lutins la retrouver. »

Et sitôt dit, sitôt fait. Toute la Compagnie du Pôle Nord, jusqu’au palefrenier qui s’occupe de l’écurie des licornes, se met à fouiller l’entièreté des locaux de l’entreprise. Seulement, rien ne semble venir, au grand dam du Père Noël qui perd peu à peu sa bonhommie légendaire.

Un des lutins suggère alors timidement que c’est peut-être le loup en fuite du zoo voisin qui s’en serait emparé. Un torrent de moqueries s’abat alors sur lui : « Wah l’autre eh ! », « T’as vu la vierge ? » ou bien encore « C’est ça de trop abuser d’alcool d’edelweiss ».

Madame Noël se masse les tempes, regrettant le temps où son union avec le Père Noël ne consistait pas à prévoir deux tas de pâtisseries : un pour les enfants de la famille qui allaient venir passer leurs vacances chez eux, et un uniquement pour son goinfre de mari qui ne pense plus qu’en termes de sucreries lorsque les fêtes de fin d’année approchent.

Un bruit attire soudain son attention. N’arrivant pas à analyser la source dudit bruit, Madame Noël perd patience et rugit à l’attention du Père Noël et de ses employés bien trop turbulents à son goût : « SILENCE ! »

Tous les regards se tournent vers elle, y compris celui de son mari qui semble stupéfait de découvrir que Madame Noël n’est pas que douceur et patience angélique.

Cependant, la propriétaire de ce cri a toute son attention dirigée vers le fameux bruit entendu précédemment.

Intriguée, elle se dirige vers la maison, et plus précisément, vers la salle à manger où crépite gaiement une bonne flambée. Il faut préciser que pour que Madame Noël ait entendu un bruit aussi fluet, c’est qu’elle a du sang d’elfe dans les veines, et donc, certaines caractéristiques physiques dont une ouïe très fine.

La voilà donc qui ouvre la porte de la salle à manger et là, devant elle, se trouve un spectacle plutôt comique (avouons-le) : en effet, profitant de l’effervescence de la maisonnée, Scrat, le chien, et Noé, le chat, se sont faufilés en douce dans la pièce et ont donc entamé leur festin de Noël personnel, c’est-à-dire les biscuits et le lait prévu pour le Père Noël au retour de sa tournée mondiale.

Madame Noël éclate de rire, bientôt rejointe par son mari et toute la cohorte de lutins.

Bilan de ce Noël qui restera comme un des meilleurs vécus par la famille Noël et son entourage : le mystère de la disparition de la recette du pain d’épice magique n’a jamais été résolu malgré l’aide du grand détective Sherlock Holmes : le Père Noël a fini par aller livrer tous les enfants malgré le fait qu’il n’ait pas pu manger son pain d’épice ; et Noé et Scrat, une fois leur repas de fête terminé, ont passé le reste de la soirée à digérer benoîtement devant le feu.

Un paysage vallonné et peuplé uniquement par des arbres. Des vaisseaux qui passent, à la recherche de quelqu’un ou quelque chose. Et cette immense planète rouge qui surgit de derrière les nuages et que d’aucuns comparent à la lune.

C’est ici que Ariane a décidé de s’établir. Tout en profitant de la relative sécurité que lui offrent les nombreux arbres disséminés sur ce territoire plutôt hostile, la jeune femme reste quand même sur ses gardes. En effet, elle est a fui son royaume depuis qu’une guerre l’a forcée à abdiquer. Ses adversaires, comptant sur sa capture pour faire plier les dernières poches de résistance, la traquent jour et nuit.

Un avis de recherche titré « La reine de Cyrenia – A capturer » a été diffusé dans toute la galaxie, accompagné de son portrait-robot. « Ariane Cyrene est de taille moyenne, a une longue chevelure rousse laissée libre, une peau claire constellée de taches de rousseur et des yeux vert émeraude. Lors de sa fuite, elle était vêtue d’une robe courte de couleur blanche et sans manches, ainsi que chaussée de sandalettes légères. » La description est très ressemblante à ceci près que ses yeux vert émeraude pétillent de malice en temps normal.

Cyrenia était le berceau de la civilisation moderne. C’était le royaume le plus important de toute la galaxie et il n’avait pas à rougir de la comparaison avec d’autres grands royaumes tels que Solingäar ou Léonia. Hélas, avec le temps, sa richesse tant culturelle que matérielle a éveillé les jalousies de ses voisins qui se sont alliés pour le faire tomber, créant ainsi une migration importante vers d’autres planètes soudain bien plus accueillantes.

Ariane, légèrement blessée lors du dernier combat mené avant qu’elle ne s’enfuie, a paré au plus pressé en bandant son poignet avec ce qu’elle avait sous la main à ce moment-là, à savoir une chaussette. Certes, ce n’est pas courant comme pansement, mais il fallait bien éviter que la blessure ne s’aggrave et ne l’empêche donc de concrétiser le plan d’évasion que ses soldats avaient mis en place.

L’ex-reine de Cyrenia se sent extrêmement coupable d’avoir dû abandonner ceux et celles de ses loyaux sujets qui combattaient encore avec la rage du désespoir lorsque sa garde l’a exfiltrée malgré ses protestations. Il faut dire que Ariane est une reine-guerrière. Depuis toujours, dans sa famille, on apprend aux filles ainsi qu’aux garçons à défendre leur royaume. Laisser derrière elle tout ce qui fait d’elle la souveraine dudit royaume n’était clairement pas dans son éducation. C’est pourquoi, lorsque sa garde prétoriale s’est emparée d’elle et l’a quasiment kidnappée avant de l’exfiltrer en direction d’un vaisseau anonyme et prêt à décoller, Ariane a d’abord refusé violemment de partir. Il a fallu que le centurion Maximus lui explique ce qu’elle représenterait en tant qu’otage pour qu’elle cède.

Cependant, la jeune femme n’est pas partie les mains vides. Outre le fait que le vaisseau était rempli de nourriture et d’eau pour faire face au moindre imprévu dans l’espace, Ariane a eu le temps d’embarquer sa dague. Cette dague, qui ne la quitte plus, est désormais le seul lien que l’ex-reine a avec son peuple.

Malgré sa situation désespérée, Ariane garde espoir : un jour viendra où les Cyréniens se rebelleront contre leurs occupants et referont rayonner leur royaume à travers toute la galaxie.

Galina a rejoint la cause des ramoneurs pour lutter contre la décadence imposé par le concile. Cette décadence semble avoir été mise en place depuis déjà de nombreuses année, c’est pourquoi il est de plus en plus rare de croiser des anges qui ne soit pas blond avec des ailes de lumière, mais parfois les mystères de la génétique font que certain trait non désiré apparaissent. Pour ce justifier le concile a fait savoir que ses ailes d’obscurité était une résurgence des Nephilims et qu’il fallait les faire disparaître sinon la cité Céleste plongerais dans les Abîmes, pour cela ils ont créé de toute pièces des légendes sur la princesse du démon et ses sombres pouvoirs.

Mais les ramoneurs ont fait s’évader de nombreux nephilims et ils ont bien dû leur trouver une occupation dans les couloirs secret de la cité. Alors ils les ont chargés de gérer la guerre entre le père noël et le lapin de pâques, tout ceux qui se retrouve à endiguer les attaques de l’un sur l’autre vous le diront, c’est une lutte acharné qui ne connaît pas un instant de répit, au points que de nombreux nephilims en ont perdu le sommeil. Certain croyait que c’était un simple mythe, mais ils ont vite appris que c’était une réalité cruelle.

Célimène se retrouve rapidement affecté à la tâche d'empêcher les lutins de noël de détruire la récolte du lapin de pâques. C’est que les lutins peuvent être déterminé quand ils ont un objectif en tête, au point de dresser des échafaudages sur l'île même du lapin de pâques pour l'empêcher d’utiliser ses tunnels magiques.

Pour cette fois elle réussit à détourner leurs attention grâce à un aquarium rempli de trèfle des Alpes, chacun sait que les lutin de noël ne peuvent résister à chercher un trèfle à quatre feuille. Elle a empêcher un grand drame, elle espère qu’elle sera aussi efficace la prochaine fois.

Elle a entendu qu’une fois un nephilim n’as pas réussit a empêché l’attaque des lutins et qu’ils ont réussi à poignarder tout les œufs avant qu’ils ne soient à maturité, cette année là, le lapin de pâques a dû livrer des œufs miniatures, par chance les enfants ont beaucoup apprécié ses œufs minuscule qu’ils pouvaient mettre tout entier dans leurs bouches, depuis c’est devenu l’un des produit fart des cultures du lapins de pâques.

Arthur et Elros monte sur la créature qu’est devenu la graine de l’arbre d’Elros. Il est temps qu’il reprennent la route pour qu’ils arrivent à temps au royaume du père noël, avant que le passage ne soit fermé et qu’il soit obligé d’attendre une nouvelle année. C’est quand même dommage qu’il n’y est qu’un seul jour ou le père noël et son héritier peuvent traverser ce passage.

- Nous allons rejoindre la gare la plus proche, nous y serons vite au vu de la taille des jambes de notre monture, dit Arthur.

- Tu conte nous faire prendre un train, tu est sur que ça sera très discret au vu de la forme qu’a pris ma moitié, demande Elros.

- Sa n’as pas besoin d'être discret, c’est une gare spécial, qui fait voyager des trains entre les mondes et c’est la seul ligne directe pour le pôle nord que je connaisse, tu verras on croise de drôle de chose dans ses vieux wagon de train à vapeur. Je me souviens de quand je suis parti pour mon stage, il y avait un chat distingué qui portait une cravate et un chapeau haut de forme, il avait aussi des lunettes d’aviateur sur son chapeau tout en portant avec une grande distinction un monocle et fumant avec un porte cigarette. Sur la banquette en face une petite chouette avec un nœud papillon et un haut de forme, tout les deux d’une rouge profond portait une paire de bésicles, elle voyageait avec une sacoche plus grande qu’elle qui semblait contenir des choses bien importante pour elle, dit Arthur.

- Ok elle ne fera pas tâche, mais est ce qu’elle entrera dans le train, je veut dire que l’arbre, il est devenue énorme, demande Elros.

- Ne t'inquiète pas, une fois la bas tu l’aidera à prendre une autre forme, peut être celle d’une crêpière, dit Arthur.

- Pourquoi pas, du moment qu’elle ne se transforment pas en jambes de bois, sa me ferais une belle jambes en tout cas, s'esclaffe Elros.

Amandine et Lucie ont été installé , par Biscuit, dans un jolie petit appartement du royaume du père noël. Elle ont trouver un salon remplis de boîtes de décorations de noël et un sapin sur lequel les mettre. Biscuits leurs a assuré qu’elles ne risquent rien ici et qu’elles auraient bientôt des informations du pourquoi de leurs présence ici, mais que jusque là elles devaient rester dans l’appartement.
Elles décident donc de se consacré a la décoration de cette arbre de noël. Amandine a allumé la télévision qui trône sur un meuble du salon, elle trouve un dessin-animé de noël et le met pour avoir un fond sonore. Elles ouvrent les cartons un à un et découvre des décorations magnifiques qui sont de vrais travail d’orfèvres. Il y a tellement d’ornement différents qu’elles pourraient décoré au moins trois sapins.

Biscuit va faire son rapport au père noël et lui annoncé qu’Amandine et Lucie sont en sécurité, le vieil homme pousse un soupire de soulagement, enfin une bonne nouvelle, il a hâte de les rencontrer, mais il sait qu’il doit attendre ce n’est pas à lui de leurs annoncée ce qu’il sait sur Arthur, il se ferait décapité par son héritier si il faisait ça. En attendant ce moment il va s'occuper en continuant ses expérimentations sur une nouvelle miniaturisation des cadeaux pour optimiser l’espace dans le traîneau.

Célimène est soulagé d’avoir quitté la cité céleste, elle sait que son amis Galina a rejoint les ramoneurs et que bientôt elle pourras la revoir, mais avant elle aimerais rencontré la jeune Soraya, c’est son dossiers qui lui a permis de comprendre certaine chose et savoir qu’elle est en vie, l’as rassuré. Elles ont rendez vous dans le monde primeur des humains celui ou il naquirent avant que les passages entre les mondes ne leurs permettent d’en coloniser un grand nombre. Elles ont choisi de se retrouver à Bangkok, dans un vieux quartier sur un pont surplombant un des canaux de la ville. l’endroit est plutôt sympathique si on enlève les nombreux câbles électrique qui bouche la vue du ciel, une vieille roue à aube sert de décor rustique a un bar rock.

Célimène repère rapidement la jeune Soraya elle porte une élégante robe verte, elle fait partie des nephilims qui ont choisi de renoncer à leurs ailes et ont acquis des pouvoirs magiques. Un vent de pouvoir voler autour de la jeune fille, faisant voler les rubans de soie de sa robe, mais également quelques ombrelle chinoise qui doivent servirent de protection à la jeune nephilim si besoin.

Elle s’approche de la jeune fille et se présente, elle a dut replié ses ailes et les camouflé sous un grand manteau, c’est moins pratique que de renoncer à ses ailes, mais elle n’est pas encore prête à ce sacrifice.

- C’est grâce a ton dossier que j’ai pu consulté dans mon ascendance que j’ai compris qu’il se tramait quelque chose dans la cité céleste, ils auront bientôt réussit à créer leur race d’ange blond parfait, dit Célimène.

- Nous avons un plan pour qu’ils n’y arrivent pas, mais pour l’instant les nôtres ne sont pas encore prêt à ce sacrifice, il faut que chacun de nous qui a un enfants blond, soit prêt à renoncer à cet enfant qui sera échangé avec un autre dans les nurseries de la cité céleste. Ainsi nous élèveront leurs enfants et eux les nôtres, mais surtout nous ramenons des gènes qu’ils ne désirent pas, dit Soraya.

- Je ne suis pas sur que ça soit la meilleur solution a long terme, répondit Célimène.

- Non en effet, mais ça nous permettrait sans doute de tenir une génération de plus et d’ici là certain membre du concile auront rendu leurs derniers soupir, ce qui nous permettrait peut être de placer des ramoneurs au seins même du concile, ajouta Soraya.

- Il doit bien avoir un autre moyen sans nous servir des nouveau nées, dit Célimène.

- J’espère de tout cœur qu’on trouveras un autre moyen, mais j’ai bien peur que ça ne soit comme d'empêcher la guerre entre le père-noël et le lapin de pâques, une pure utopie, dit Soraya.

- Qui sait, je croyait que les phénix était une légende et pourtant j’ai eu l’occasion de contempler le plumage d’un phénix dans les reflets d’une myriade de boule de noël. C’était purement féerique, en tout cas j’ai été ravie de te rencontrer, j’espère que nous aurons l’occasion de travailler ensemble, dit Célimène.

C’est ainsi que Célimène quitta Soraya pour retourner dans les couloirs secret de la cité céleste.

Monsieur Horace de la Chouetterie Hiboutienne, représentant hibou de son espèce, survola le quai à la recherche d’un wagon libre où il pourrait s’installer.

Il remarqua un wagon en fin de train qui semblait convenir et s’engouffra dedans, sa sacoche dans son bec.

Manque de chance, ledit wagon n’était pas aussi vide qu’il le pensait. En effet, Monsieur Jean-Charles de Minou, ambassadeur félin de son état, occupait déjà une banquette.

Il faut dire que les félins et les rapaces avaient derrière eux une liste de conflits aussi longue que mon bras et ma jambe réunis (le premier qui me dit que ça ne fait pas si long que ça se prend un coup de crêpière dans la figure, je vous préviens), ce qui expliquait donc pourquoi nos deux protagonistes semblaient sur le point de se poignarder mutuellement.

Sur l’échafaudage installé le long de la façade du bâtiment donnant sur les quais de gare, deux nephilims discutaient quant à eux de la guerre entre le Père Noël et le Lapin de Pâques. Était-elle vraiment un mythe ou était-ce une réalité cruelle qui affectait le sommeil de nombre d’entre eux ? Les hypothèses variaient et les deux ouvriers ne savaient pas vraiment laquelle d’entre elles était fiable.

Mais revenons à nos deux compères. Horace, le hibou, ouvrit le bec pour dire quelque chose mais le train démarra brusquement, le déséquilibrant par la même occasion et le faisant atterrir sur le sol. Jean-Charles, le félin, posa une patte délicate sur sa bouche pour camoufler son sourire, ne voulant pas risquer de provoquer un incident diplomatique.

Cherchant quelque chose pour se distraire du fou-rire qu’il sentait monter, l’ambassadeur félin jeta un œil distrait par la fenêtre avant de se laisser captiver par le paysage. Des Trèfles des Alpes bruissaient doucement au passage du train tandis que de paisibles fermiers vaches poussaient leurs troupeaux en direction des prés pour les faire paitre.

« On a l’impression d’être dans cet espèce d’objet où les humains enfermaient les Poissons à l’époque … Voyons, un aquarium je crois ? » déclara soudain une voix près de lui, le faisant sursauter et à son tour, choir de sa banquette.

Notre ami le hibou eut un sourire amusé qu’il cacha rapidement en enfouissant sa tête sous son aile pour y chercher on ne sait trop quoi. Reprenant la parole, il s’excusa auprès de son voisin pour la frayeur involontaire qu’il lui avait causée et précisa qu’il pensait que ce dernier l’avait vu venir près de lui dans le reflet de la vitre.

Le chat, qui s’était réinstallé sur son fauteuil, eut un geste de la patte comme pour dire que ce n’était pour rien et, sortant de sa sacoche un paquet de biscuits, en proposa poliment à Horace, qui refusa tout aussi poliment.

Au final, la cohabitation se passa fort bien et s’ils ne se quittèrent pas les meilleurs amis du monde, Horace et Jean-Charles étaient bien contents d’avoir fait mentir les mauvaises langues qui prédisaient que félins et rapaces ne pourraient jamais s’entendre.

C’est probablement ce qui a inspiré le décor d’un des films de Pirate des Caraïbes : un fleuve, des pagodes et des gens qui vivent autour.

Appuyée à une rambarde, Sophie regarde le bateau qui s’avance sur l’eau. Les longs rubans de la ceinture de sa robe verte semblent voler sous l’effet de la brise qui joue avec eux.

Au milieu de tout ce décor quelque peu labellisé « empire du Soleil Levant », il y a quand même quelques éléments de déco qui semblent un peu incongrus. Par exemple, il y a plein d’arbres de Noël qui disparaissent sous les guirlandes et les boules ; il y a aussi ces néons qui font briller l’écriture « Rock’n’Roll » ou bien encore des guirlandes lumineuses.

Soudain, une musique bruyante détruit la relative quiétude qui régnait dans ce lieu. C’est signe qu’une annonce importante va être diffusée.

Sophie se rapproche des haut-parleurs, un peu inquiète quand même. Cela fait quelques jours que Mary, son amie ou du moins ce qui s’en rapproche le plus, a disparu. Or, avec la relation conflictuelle qu’entretient le Japon avec l’Angleterre, il est bien possible que certains (ou certaines) citoyens britanniques aient discrètement disparu de la circulation pour faire pression sur le gouvernement de la perfide Albion, comme la qualifie Sophie en son for intérieur.

« Sur la décision de notre sublime souverain qui règne au-dessus des nuages, il a été décidé que les traîtres Peter Sagan, Mary Forsithe et Edouard Stewart seront décapités à titre d’exemple. Notre céleste empereur voudrait rappeler à tous ses loyaux sujets que les lois sont faites pour être respectées, et ce, par tout le monde. »

La musique retentit de nouveau, signalant la fin de la diffusion. Sophie, sous le choc, est incapable d’avoir la moindre pensée cohérente.

Quelqu’un s’approche d’elle et l’entraîne vers la pagode la plus proche afin de la faire s’asseoir.

Les jambes flageolantes de Sophie la lâchent soudain et la font atterrir la tête la première dans un fauteuil à bascules. La situation pourrait porter à rire si elle n’était pas aussi dramatique.

On lui tend une tasse de thé odorante et elle l’avale d’un seul coup, se brûlant héroïquement le gosier au passage.

« Vous sentez-vous mieux, madame ? » demande la personne qui s’est occupée d’elle.

Sophie lève les yeux vers son interlocuteur et étouffe une exclamation en s’apercevant qu’il s’agit de l’orfèvre fournisseur officiel du Palais Impérial. Elle s’aperçoit soudain qu’elle n’a pas répondu à la question et très embarrassée par son impolitesse, s’excuse avant de dire :

« Oui, merci beaucoup, monsieur Lin Yang.
- Vous connaissez mon nom ?
- J’ai déjà eu l’occasion de passer devant votre boutique et d’admirer votre travail », explique alors Sophie.

Profitant de ce moment, elle s’enhardit et demande à l’orfèvre s’il est possible d’intercéder pour son amie.

« Je ne sais pas trop », avoue M. Lin Yang. « Voyez-vous, il s’agit d’une expérimentation que l’Empereur a voulu retransmise à la télévision afin de voir si cela fait se tenir tranquille les causeurs de trouble. »

Notre héroïne, reprise par son inquiétude, demande alors si l’orfèvre ne pourrait pas au moins l’aider à faire s’évader Mary. Devinant qu’il joue sa tête lui aussi si on découvre qu’il a trempé dans un complot pour faire sortir de prison une condamnée à mort, Sophie joue sur la corde sensible de tout créateur de bijoux, le besoin d’argent.

« Voyons, Monsieur Lin Yang, il n’est pas question de vous mettre en danger. Vous ne feriez que jouer le rôle d’intermédiaire entre moi et quelques personnes prêtes à tout risquer pour aider une britannique à fuir ce pays. »

Elle abat alors son principal atout : « Je peux vous donner une importante somme d’argent si vous acceptez. »

Vaincu, le commerçant abdique et accepte la mission dont Sophie le charge.

Le soulagement de cette dernière se fait sentir lorsqu’elle remercie chaudement l’orfèvre avant de quitter sa pagode.

Quelques jours plus tard, après avoir convenu d’un plan avec la cheffe de la troupe qui doivent délivrer Mary, Sophie est postée sur le bateau qu’elle a acheté pour aider son amie à s’enfuir et attend le signal qui lui dira que son amie est en chemin pour la rejoindre.

Lorsqu’un paquet atterrit à ses pieds, le petit « Ploc » que fait ce dernier lui semble résonner sur l’eau. Elle jette un regard inquiet aux alentours avant de se pencher et de récupérer ledit paquet pour voir ce qu’il contient. Dedans se trouve un petit miroir au cadre en argent ciselé et dont le motif représente une jeune femme en train de contempler le plumage du phénix dans les reflets d’une myriade de boule de Noël. Il n’y a pas de signature mais notre courageuse protagoniste devine instinctivement qu’il s’agit de l’orfèvre impérial.

Son esprit tourne alors à plein régime. Pourquoi ? Qu’est-ce qui a motivé ce geste ? Aucune réponse ne semble convenir. Soudain, un sifflement modulé retentit. C’est le signal, Mary arrive.

Et de fait, quelques minutes après, une cavalcade déboule sur le quai et dépose une jeune femme brune échevelée près du bateau avant de repartir sans un mot. Cette dernière n’a pas le temps de reprendre ses esprits que Sophie l’entraîne sur le bateau qui s’éloigne toute voile dehors de cet endroit bien trop dangereux.

Bientôt, nos deux amies qui ont renoué durant le trajet jusqu’au bateau qui doit les ramener en Angleterre, laissent derrière elles ces mauvais souvenirs qui deviendront des aventures à raconter à leurs ami.e.s.

Pour la première fois le père fouettard a réussi quelque chose, en effet il a volé l’hiver et il a décider de poursuivre sur sa lancer. Mais il est conscient que pour cela il a besoin d’un allié alors il décident de s'associer avec le Grinch, ensemble il vont détruire Noel. On est toujours plus fort a deux, c’est bien connu. Le père fouettard a du mené de rude négociation avant que le Grinch accepte de collaborer avec lui, ils ont beau détesté tout les deux Noël, ils sont loin d’avoir les même valeurs. Le chronomètre est lancé, ils ont trois jours pour réussir ensemble, sinon le Grinch se chargera de détruire le père fouettard en plus de Noël.

Suzelle et Ariane ont rendu la recette du pain d’épice magique à la mère noël qui a accepté les excuses d’Ariane. Suzelle ne s’en est pas encore rendu compte mais elle a reçu la récompense de sa première mission, en effet une amitié est en train de naître entre Ariane et elle. Suzelle décrit à sa nouvelle amie, le doux bruit des vagues sur une plage au bord de la mer. Ariane est émerveillé, c’est tellement différent de ce qui se passe dans le royaume du père noël, ou il n’y a que de la neige et du froid, la plus grande source de chaleur qu’elle est vu un jours c’est un phénix majestueux qui est s’est posé un instant devant elle.

Galina a demandé à revoir Célimène, elle lui manque trop, son absence lui a fait comprendre la réalité des sentiments qu’elle a pour la nephilim. Elle est prête à briser toutes les barrières qui l'empêchent d'être avec elle à chaque instant du reste de sa vie. Elle ne supporte plus ce qui se passe dans la cité céleste, elle a besoin de voire autre chose, de croire qu’il y a un avenir commun pour elles. Les ramoneurs la font quitté la cité à bord d’un dirigeable, c’est une nouvelle aventure pour elle, chaque instant est un étonnement pour elle. Elle ne se doutait pas que les mondes étaient si vaste et si varié. Le dirigeable est en train de s’arrimer à une sorte de tour biscornu, étrange assemblage d’acier et de verres qui va lui permettre de rejoindre la terre ferme. On lui a dit d'être la plus discrète possible avec ses ailes ou de choisir d’y renoncer, mais elle n’était pas encore prête a se sacrifice.

Biscuit profite de sa dernière permission avant le grand ruche de noël pour s'accorder un petit moment avec l’un de ses meilleurs amis. Pour cela il c’est rendu dans les brumes intramondes. La dans un endroit nébuleux, une table et deux fauteuils confortable sont les seul choses qui ne semble pas faites de brume, sur la table un jeux d’échec ouvragée. Franchissant tout comme lui les volutes de brumes, un jeune homme aux yeux gris apparaît devant lui.

- Ah ! Mais qui me fait le plaisir d'être  présent pour une merveilleuse partie d’échec, on dirait bien que c’est le grand Micha Tischmacher, et à l’heure en plus pour une fois, dit Biscuit.

- Voyons, je ne suis pas grand, toi tu es grand, même géant à côté de moi, répliqua en rigolant le jeune homme.

N'importe quel personne qui aurait assisté à cet échange aurait été surpris par ses étranges paroles, mais ont sent bien que c’est là une bonne plaisanterie entre les deux amis.

La nuit est tombée depuis un moment déjà, la lune se montre enfin, elle monte dans le ciel ronde et pleine, elle appelle de toutes ses forces ses enfants chéris. Bientôt ils lui répondront, criant de toute la force de leurs poumons pour la remercier de la force qu’elle leurs donne.

Dans la plaine proche du village du père noël, un étrange rassemblement se forme. Des hommes, des femmes et des enfants que tout semble opposer se rassemblait, ils sont la pour la fameuse trêve de noël. Serte cette pleine lune ne tombe pas le jour de noël, mais il se trouve que chaque pleine lune qui tombe au mois de décembre entre dans les condition de la trêve de noël. Il arrive même qu’il y est deux pleine lune en décembre et alors la c’est la grande fête, les deux sont comprise dans la trêve. pourquoi une telle fête, parce que la trêve leurs permet de regarder la pleine lune sans se transformer en bête sanguinaire, il ne deviennent que de simple loups qui se mettent à chanter à la lune. Ils ont oublié qui a signé cette trêve et comment cette magie opère, mais ils ne manque pas de rendre hommage à ceux qui ont permis cela.

Cette année ils ont choisi ce lieux reculé pour ce rassemblé, il y a bien un petit hameau avec une église et quelque bâtiment et bien sur le village du père noël, mais seul les initiés peuvent voire ce dernier. Ils sont suffisamment loin pour que leur meute ne dérange personne, cette année ils ont décidé d’organiser un spectacle et ils ont invité un chanteur connue, alors qu’il commence son concert, il se retrouve complètement paniqué en voyant que tous ses spectateurs se transforme en loups, il aurait dû deviner que ce concert privé dans un lieux aussi reculé était un piège, il allait se faire bouffer par ce qui devait être une meute de loups-garou, c’était ironique pour un chanteur nommé Garou. Heureusement pour lui, il a réussi a monté sur un arbre qui se trouvait juste derrière la petite estrade d'où il chantait. Il aurait peut être dû accepter ce lait d'hellébore que lui a proposer l’un d’entre eux plus tôt dans la soirée, ça avait peut être des vertus repoussante pour les loup-garou.

Dans son bureau, le père noël lui est très joyeux, il contemple un aquarium géant où évolue une créature étrange et sanguinaire, elle est affamé et voudrais le dévoré et répondre à l'appelle de la pleine lune, mais cette nuit elle a été aspiré et coincé dans cette coquille géante, c’est bien connu les coquillages ne se déplace pas beaucoup, c’est donc une prison idéale pour la malédiction des loup-garou.

Une épaisse fumée grise recouvre le ciel et par la même occasion le soleil. La cité minérale au loin semble s’effacer dessous ce linceul.
Une caravelle à étages est posée là, sur cette herbe sèche qui a l’air de n’avoir pas vu la pluie depuis plusieurs mois. De l’autre côté du sentier qui partage cette surface, presque en face de la caravelle, il y a un vaisseau.

Micha Tischmacher, jeune homme aux yeux gris et aux cheveux raides, descendit de la caravelle. Il se posta sur le sentir et mis la main en visière devant ses yeux afin d’observer l’horizon. Mais rien ne semblait pouvoir percer ce voile.

Ce que Micha ne savait pas, c’était que le Grinch et le Père Fouettard s'étaient associés pour détruire Noël.

Depuis cette funeste décision, le monde avait succombé au chaos le plus total. Chaque cadeau était détruit méticuleusement par la brigade des diablotins missionnée par les deux compères susnommés. Chaque occasion de préparer Noël était soigneusement amenée à disparaître. Bref, le plan des deux malandrins se mettait en place doucement.

C’était sans compter sur Micha. Lorsque ce dernier prit connaissance du pacte passé entre le Grinch et le Père Fouettard, son sang ne fit qu’un tour. En effet, Micha aimait beaucoup Noël. Pour lui, c’était une occasion de se retrouver tous ensemble autour d’un bon repas et de passer un agréable moment avec tous ceux et toutes celles auxquel.le.s on tenait.

Du coup, Micha avait mis les voiles pour s’en aller lutter contre la disparition de Noël. Le chronomètre semblait s’être joint au complot et le temps filait à toute allure, au grand désarroi de notre héros.

La mer et ses vagues se liguaient également contre lui afin de l’empêcher d’atteindre son but. Le jeune homme activa alors une hélice cachée sous la coque de la caravelle et cette dernière prit son envol.

Les températures indiquaient bien qu’il y avait un problème : il faisait beaucoup trop doux pour un mois de Décembre.

Le phénix perché sur son épaule émit soudain une sorte d’hululement d’alerte : une barrière magnétique entourait le Pôle Nord, empêchant Micha de survoler la région pour repérer les éventuels lieux où pouvait être retenu en otage le Père Noël.

Micha décida alors de terminer la route à pieds. Il fit atterrir la caravelle sur la glace et prit ses skis avant de descendre sur la terre enneigée. Il enfila ses skis avant de s’élancer en direction des bâtiments qui ressemblaient fortement aux entrepôts du Père Noël.

Des cris s’élevèrent d’un chalet non-loin de là. En garçon courageux qu’il était, Micha n’hésita pas une seconde et se précipita vers la source du bruit.

Il jeta un œil prudent à l’intérieur par le biais d’une fenêtre et sursauta en constatant que le Grinch tenait le Père Noël ligoté sur un fauteuil à bascule en joue avec un fusil au harpon pendant que le Père Fouettard pérorait tel le grand méchant qui est persuadé que son plan est sans failles.

Comme dans tout bon récit d’aventures, Micha surgit brusquement dans la pièce, plongea vers le Grinch et fit un roulé-boulé pour faucher ce dernier au niveau des jambes avant qu’il n’ait eu le temps d’utiliser son arme.

Pendant ce temps, Fumseck, son phénix, attaquait le Père Fouettard à coups de bec pendant que ce vilain homme tentait désespérément de l’attraper pour se débarrasser de lui.

Surgirent alors le célèbre détective Sherlock Holmes et son acolyte le docteur Watson afin de prendre en main la dernière partie de l’histoire, à savoir l’arrestation des deux compères.

Il est à noter que le Père Fouettard fut condamné à fouetter des œufs en neige durant tout le reste de sa vie. Quand au Grinch, sa peine fut de regarder tous les films diffusés sur Netflix pour Noël.

Autant vous dire que l’envie de recommencer leur est définitivement passée.